Parti Ouvrier Indépendant | Archives Journalières

Archive | Lundi 7 octobre 2013

Retraites rassemblement syndocats 15 octobre non au projet

Le 15 octobre, les syndicats se mobilisent contre le projet gouvernemental de réforme des retraites

Lundi 7 octobre 2013 | POI | Commentaires fermés

À l’occasion de l’ouverture aujourd’hui du débat à l’Assemblée Nationale sur le projet de loi sur les retraites, la confédération FO a lancé une pétition adressée aux députés et aux sénateurs pour « qu’ils puissent se déterminer en toute connaissance de cause ». Si certaines dispositions, écrit la pétition, « constituent des avancées » à « confirmer et à améliorer », […]

jeudi 10 octobre 2013

♦ Au Bangladesh, un nouvel incendie dans une usine textile qui fournissait indirectement du tissu à de grandes marques internationales a fait sept morts.
♦ Le FMI prévoit que, en moyenne, la dette publique des pays développés devrait atteindre un « pic historique » de 110% de leur produit intérieur brut (PIB) en 2014, c’est-à-dire 35 points de plus qu'en 2007.
♦ En France, les députés ont supprimé le report de six mois de la revalorisation annuelle des retraites prévu dans le projet de loi, à la suite d'une erreur de vote. Huit députés socialistes ont fait savoir qu'ils s'étaient trompés. Un conseiller ministériel a fait savoir que le gouvernement reviendrait sur ce point par un amendement ou une deuxième délibération.
♦ Contrairement au projet initial, Ayrault, Premier ministre a accordé « la pérennisation en 2014 du fonds » d'aide aux communes pour la mise en place des nouveaux rythmes scolaires. Après Crillon (Oise), une deuxième commune, Janvry (Essonne) a décidé de ne pas appliquer la réforme des rythmes scolaires en 2014. Son maire dénonce la « fracture entre communes riches et pauvres » induite par la réforme.
♦ Le projet de budget de la Sécurité sociale pour 2014, intégrant un ensemble de mesures « historique » de plus de quatre milliards d'euros d'économies sur les dépenses de santé, a été présenté au conseil des ministres.
♦ Fillon, ancien Premier ministre, engage les hostilités contre Sarkozy, ancien chef de l’État. Selon l'hebdomadaire Valeurs Actuelles, il s’estime mieux placé pour la prochaine élection présidentielle et affirme que « Quand on perd une élection, il est impossible de dire qu'on a fait une bonne campagne […] On est obligé de se remettre en cause, sinon, c'est un bras d'honneur aux Français ».